vendredi 27 septembre 2013

Frankia en poche de Luxe

Bonsoir à Tous.
 
Certains d'entre vous le savent peut être déjà, mais depuis le 06 septembre, les éditions Mnemos ont réédité  ma saga Frankia en édition de poche.
 
Pour ceux de mes lecteurs qui ne la connaîtraient pas, sachez que Frankia est une histoire se déroulant dans une France parallèle "Frankia" où existe la magie, les orcs, les elfes, les nains, etc...
 
Mais les habitants de ce monde, loin de rester enfermés dans un moyen-âge éternel, ont appris à utiliser la magie de leur univers et l'ont formalisée.
 
Ils disposent ainsi de machines à vapeur dont les moteurs fonctionnent grâce à des élémentaires de feu liés, de l'électricité grâce à des "centrales" où des élémentaires de foudre invoqués déchargent leur énergie... Ils altèrent la trame même de leur réalité grâce à des protocoles technomanciens très précis, alliant le son, le geste et la lumière pour modifier la portée harmonique de la matière.
 
Dans ce monde, les orcs ont été colonisés, ont aidé les Frankien pendant "leur première guerre mondiale", mais on se méfie d'eux et on les traite par le mépris.
 
Quand commence le récit, les Teutoniens,  grâce à leur mécanochimères (des créatures de métal animées par magie), se sont emparés d'une bonne part d'Europa et du nord de Frankia et y imposent leur ordre noir.
 
Les elfes, créatures d'origine végétale, sont poursuivis, persécutés et exterminés par les Teutoniens et leur maître... On les décrit comme des créatures pernicieuses, qui ressemblent à des humains mais n'en sont pas, des simulacres qu'il faut dénoncer car ils n'existent que pour pervertir et dévoyer la jeunesse d'Europa... Du moins est-ce ce qu'affirment les autorités toutes vendues à l'envahisseur et à sa propagande.
 
Mais Loïren, un jeune Frankien amnésique recueilli et élevé par Gralk Orug Korg, un ancien chef de tribu orc, va un jour porter secours à une jeune elfe en détresse poursuivie par la milice et la ramener dans la maison de son père.
 
Dès lors, il va entraîner les siens, Gralk, son Père et Morkhaï, son frère adoptif, dans le conflit qui ensanglante cet univers, car Faëllia s'Aïlenn Shaar Yggdrassaï, la jeune elfe à la beauté miraculeuse qu'il a recueilli, est la Dernière prêtresse reine des elfes, celle que recherchent toutes les forces de Teutonia; le Dernier espoir de son peuple, celle qui, seule, peut se dresser contre l'Uberkaïser Von Drakho et ses ténèbres de métal.
 
Frankia est une histoire de nuit, de combat, de résistance, de peur et de violence, celle d'hommes et de femmes entraînés dans la tourmente d'un monde devenu fou, mais avant tout chose, une histoire d'amitié et d'amour qui transcende les barrières de races et de cultures...
 
C'est une œuvre imaginaire bien sûr, et un histoire d'aventure avant tout, mais sous le masque du fantastique, les sentiments, les émotions sont bien réels, et j'ai utilisé, dans ces pages, bien des témoignages que j'ai recueillis autour de moi, sur cette sombre période de notre histoire qu'il ne faut pas oublier... pour que jamais elle ne revienne.
 
A travers l'imaginaire, je convie les lecteur à revivre et ressentir un peu de ces heures sombres et à partager la peur et l'espoir de ceux qui les ont vécues...
 
Mais avant tout, comme dans mes autres livres, j'espère vous émouvoir et vous faire rêver.
 
Je suis très content de cette édition poche d'abord parce qu'elle est de très belle facture et que l'illustration de couverture de Bastien Lecouffe-Deharme est vraiment magnifique et correspond tout à fait à ce que voulais pour ce livre. Enfin, j'ai réalisé personnellement les en-tête de chapitre et les illustrations noir et blanc intérieures qui parsèment le livre...
 
Je voulais donc remercier Nathalie Weil et les éditions Mnemos pour cette superbe édition qui me comble en tant qu'auteur.
 
Si certains d'entre vous avez hésité sur le grand format peut être vous laisserez-vous tenter par le poche qui n'a rien à lui envier (si ce n'est sa taille) et qu'on peut emporter partout.
 
Et comme une bonne image vaut mieux qu'un long discours; voici la couverture du premier volume (il y en aura 2) de Bastien Lecouffe-Deharme :
 
 
Et en ce qui concerne les illustrations intérieures réalisées par ma modeste personne, en voici un exemple :
 
 
En espérant vous avoir donné envie de découvrir Frankia, ce n'est pas le Galoup, ni Alban ni le Dernier Hiver, mais cela reste du Marcastel....
 
Et pour ceux qui se demandent à quel genre appartient cette saga, je dirai de l'Uchronie Fantasy-Steampunk...
 
Non, oubliez les étiquettes, je les déteste. J'ai horreur qu'on enferme les livres dans des petites cases, comme des fruits et légumes à l'étal du primeur...
 
En fait, je dirai, comme pour tous mes livres : " C'est une histoire... Voulez-vous que je vous la raconte ?"
 
Et je ne résiste pas à la tentation de vous présenter Faëllia, mon héroïne:
 
 
 
J'espère vous avoir donné envie de la rencontrer...

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